Horizon : Pourquoi avoir choisi de participer à l’émission « Top Chef » ?
Je n’étais pas du tout dans l’optique d’y participer à vrai dire. C’est une casteuse qui m’a repéré sur les réseaux sociaux. Je me suis dit que c’était l’occasion ou jamais. Mon objectif est de me jauger aux autres cuisiniers, de faire un bilan de mes compétences. C’est aussi l’opportunité de cuisiner pour les plus grands chefs !
Qu’avez-vous pensé du niveau des autres concurrents ?
Il est élevé ! Nous étions 15 candidats, triés sur le volet, sur plus de 1 500 candidatures. Je n’étais pas très à l’aise, je ne sais pas si cela s’est ressenti devant la caméra. D’autant que la pression est plus importante à « Top Chef ». Réaliser 4 plats d’exception en une heure est beaucoup plus stressant que travailler dans un établissement 2 étoiles.
« Philippe Etchebest sait motiver les candidats ! »
Face aux autres concurrents, quels sont vos points forts et vos points faibles ?
Je pense être un cuisinier assez complet, cela fait 6 ans que je travaille chez Marc Meurin et je suis fils de boucher-charcutier. En revanche, mon point faible reste la pâtisserie. C’est devenu un métier à part entière. De plus en plus de pâtissiers sont embauchés aujourd’hui, je dois continuer à m’améliorer dans ce domaine.
Vous avez choisi d’être dans la brigade de Philippe Etchebest, pourquoi cette décision ?
J’ai eu la chance de choisir entre lui et Michel Sarran. Je voulais absolument travailler avec Philippe Etchebest. J’aime sa façon de motiver les candidats, c’est ce qui m’a marqué quand je regardais les précédentes saisons. Le choisir était une évidence. D’autant que j’ai déjà travaillé avec d’autres ouvriers de France et je connais leurs valeurs. Ils sont vraiment dans le partage et la transmission.
