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A la rencontre de Miss Béthune avant l'élection de Miss Nord-Pas-de-Calais

News. En préambule de l’élection de Miss Nord-Pas-de-Calais ce samedi, Clémence Petitprez, 24 ans opticienne à Hazebrouk et miss Béthune, nous livre son sentiment sur la compétition.

A la rencontre de Miss Béthune avant l'élection de Miss Nord-Pas-de-Calais

Comment se passe la préparation au gala de ce samedi ?
Depuis le début de la semaine, nous n’arrêtons pas. Plein d’activités sont prévues. De fait, nous nous levons tôt le matin. Puis, le soir, chacune se couche tard en raison des répétitions. Du coup, la fatigue est très présente.

Le stress commence-t-il à monter à quelques jours de l’élection ? Existe-t-il des tensions entre candidates ? 
Nous formons une bonne équipe et nous nous entendons toutes très bien. La pression, personne ne la ressent car nous sommes trop occupées pour y songer. Vendredi et samedi, on commencera à angoisser.

Comment va se dérouler l’élection ? 
Répétition toute la journée de samedi et, le soir, il faudra enchainer plusieurs chorégraphies, les passages en tenue de soirée, en maillot de bain… Puis le grand final.

Comment se passent les répétitions ? 
Les chorégraphies sont répétées le soir. Il y a des danseuses parmi les miss, c’est donc plus simple pour certaines. Le comité nous demande beaucoup de choses pour être miss : être présentable, photogénique, bien parler, sourire et défiler… mais il faut aussi savoir un peu danser. Et puis, comme il s’agit aussi d’un défilé, il faut également savoir marcher avec des talons et ne pas se prendre les pieds dans les robes de soirée.

Si vous êtes élus miss Nord-Pas-de-Calais, que va-t-il se passer ?
C’est difficile à dire mais il y aura un mois de préparation dont une semaine à La Réunion avant l’élection Miss France du 17 décembre à Montpellier.

Vous imaginez-vous à cette élection en tant que représentante nordiste ?
C’est difficile de se projeter et de se dire qu’on va être élue. Personnellement, je ne me pose pas de questions. Si je suis élue, je vivrais l’expérience à fond et je serais heureuse de ramener l’écharpe de Miss Nord-Pas-de-Calais à Béthune.

Les sacres de Camille Cerf et Iris Mittenaere, 2 années consécutives, ça fait rêver ?
Oui, c’est sûr mais c’est difficile de se projeter aussi loin. Je préfère vivre au jour le jour les expériences sans vraiment m’interroger. Quel que soit le résultat, je serai contente. Je verrai au jour le jour et je m’arrangerai avec mon patron si je dois poser des jours pour l’élection de Miss France (rires).

Propos recueillis par Kahina Kanoun

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