Face à une crise énergétique qui s’aggrave, à des records d’émissions de gaz à effet de serre et à des phénomènes climatiques extrêmes de plus en plus nombreux, chaque geste compte. Utiliser massivement le vélo pour les petits trajets ferait baisser drastiquement les émissions de CO2. Le monde pourrait ainsi réduire les émissions de dioxyde de carbone de presque 700 millions de tonnes chaque année si chacun se déplaçait quotidiennement à vélo sur les courtes distances.
Un plus pour sa santé
Le vélo, c’est aussi bon pour la santé ! L’OMS annonce 500 millions de personnes atteintes d'obésité, de diabète, de maladie cardiaque… Choisir le vélo comme mode de déplacement domicile-travail n’est pas qu’une question d’écologie, c’est aussi une question de santé publique et de pouvoir d’achat. Se déplacer à vélo, c’est l’assurance de pouvoir faire 30 à 45 minutes d’exercice quotidien, ce qui répond parfaitement aux recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Un plus pour le pouvoir d’achat
Selon un sondage d’OpinionWay, 70% des Français ont décidé de pratiquer une activité sportive en janvier 2022. Près de deux Français sur cinq utilisent le vélo quotidiennement selon Le Parisien. Éviter les bouchons, faire des économies d'essence et d'assurance automobile, faire de l’activité physique ou se détendre... les raisons sont multiples pour légitimer un coup de pédale. Préférer le vélo à la voiture est particulièrement avantageux sur les trajets courts, jusqu’à 8 km (en ville, 40 % des trajets quotidiens font moins de 3 km). Peu contraint par les embouteillages, un cycliste roule à 15 km/h de moyenne, contre 14 km/h pour une voiture.