![[Vidéos] Quand le PSG est venu à Bollaert sans affronter le RC Lens](https://medias.horizonactu.fr/photos/1200/30726/)
Alors que la billetterie bat son plein pour le 16e de finale de Coupe de France qui se jouera lundi à Bollaert-Delelis entre l’US Pays de Cassel (R1) et le PSG (ce mercredi matin, la barre des 31 000 billets vendue est atteinte), voir le club de la capitale jouer dans l’antre des Sang et Or sans pour autant affronter le RC Lens n’a rien d’une première. C’est presque une habitude…
En effet, le PSG est déjà venu à plusieurs reprises à Bollaert pour affronter d’autres équipes en raison de diverses circonstances. La fois la plus récente en date est l’organisation du Trophée des champions 2021 face à l’OM à Bollaert. Les restrictions sanitaires de l’époque ne permettaient pas d’organiser le match à l’étranger, comme la LFP en avait l’habitude depuis quelques années. L’affiche devant avoir lieu sur terrain neutre, Bollaert a été retenu parmi 10 candidatures. Le PSG s’était imposé 2-1 à huis clos. Un succès, comme les autrefois dont nous allons parler, mais cette dans un contexte beaucoup plus proche de celui de lundi… Car Bollaert a déjà été prêté à des clubs amateurs de la région pour accueillir le PSG en Coupe de France. On se souvient ainsi du 16e de finale de 1994 qui avait vu le voisin du CS Avion affronter le club de la capitale En DH, le CSA avait réussi une grosse performance devant 19 838 spectateurs, emmenant le PSG d’Artur Jorge, avec Bernard Lama, David Ginola ou encore George Weah jusqu’en prolongation pour finalement s’incliner 4-1. Avion avait ouvert le score à la 32’ par Olczak avant une égalisation de Daniel Bravo (52’). Ginola (91’), Weah (99’) et Calderaro (101’) ont fait la différence.
Puis en 2006, le PSG avait eu moins de difficulté face à Vermelles (DH), à l’occasion d’un 32e de finale. Devant 15 311 spectateurs, Paris, entraîné par Guy Lacombe, l’avait emporté 4-0 sur des réalisations de Pedro Miguel Pauleta (8’), Sylvain Armand (51’), Carlos Bueno (51’) et Cristian Rodriguez (78’). A revivre ci-dessous.
