Les députés écologistes déposent ce vendredi une proposition de loi sur le congé menstruel pour que le dispositif entre dans le Code du Travail. Le texte prévoit notamment 13 jours d'arrêt par an pris en charge par la sécurité sociale, à condition d'avoir un certificat médical pour « menstruations incapacitantes ».
Certaines entreprises n’ont pas attendu la loi et commencent déjà à le mettre en place ce type de congés supplémentaires pour leurs employées. Rappelons que dans le monde, le Japon et la Corée du Sud font office d’exemple et en Europe, l’Espagne est le premier pays à avoir fait voter une loi début 2023.