Cap sur la capitale ! Les Sang et Or s’apprêtent à retrouver le Paris Saint-Germain ce samedi soir. Un match entre deux formations qui ne se sont pas encore imposées cette saison. Aussi, il s’agit là d’un nouveau gros test pour des Lensois qui enchaîneront deux déplacements en quinze jours. Et ce, après la réception de Rennes (1-1) le week-end passé. Entretien avec Jonathan Gradit.
Lensois.com : Jonathan Gradit, avant de commencer, parlez-nous de votre état de santé. Vous étiez sorti après une blessure à la cuisse contre Brest, vous avez pu tenir votre rang contre Rennes. Comment allez-vous ?
La cuisse va beaucoup mieux ! A Brest, il s’agissait d’une petite alerte. Derrière, je n’ai pas pu faire une semaine complète d’entraînement. Mais cette fois, tout est rentré dans l’ordre, j’ai pu faire une semaine normale. Ça va beaucoup mieux.
Défensivement, on a vu que Lens concédait pas mal d’occasions depuis le début de la saison. La saison passée, vous étiez relativement solide. Comment l’expliquer ?
Je trouve qu’on a surtout concédé des situations contre Brest lors de la première journée. Moins contre Rennes la semaine suivante. Justement, à Bollaert, je pense qu’on a retrouvé davantage de solidité, chose qui était notre force la saison dernière. Brice nous a fait des arrêts, ce n’est pas nouveau.
Et sur les penalties, Lens en a concédé 3 en 2 matches …
C’est vrai, ils sont parfois litigieux aussi, il ne faut pas se le cacher. En revanche, on doit être plus concentré, il faut rectifier le tir. On doit savoir quand il faut toucher, quand il faut intercepter. Ce n’est pas toujours évident, mais c’est la réalité.
Lens a pris un point en deux rencontres, y a-t-il de l’inquiétude ?
Non, parce que le côté rassurant, c’est que le contenu contre Rennes était bien présent. Pareil en première mi-temps face à Brest. Alors, oui, on va retenir les points pris. Mais pour le coup, quand ton contenu est bon, que tu as des occasions, que tu crées du jeu, c’est qu’il y a du positif. Nos matches ne se jouent pas à grand-chose et en continuant comme ça, on va pouvoir remonter au classement.