Battus à Eindhoven mercredi dernier, les Sang et Or ont perdu une place au classement. Le PSV, à égalité de points avec Lens, lui a chipé la deuxième place grâce à sa différence de buts sur l’ensemble des deux matches. Alors désormais, en plus de ces matches, le Racing va devoir compter sur les autres pour tenter d’accrocher son billet pour les 8e de finale de Ligue des Champions.
Et il se pourrait bien que le 6e et dernier match de poule, à Bollaert, face à Séville devienne une petite finale pour la 3e place et donc l’Europa League. «Il reste deux matches, on n’a pas notre destin entre nos mains, soufflait Jonathan Gradit à l’issue du match. Il faut créer l’exploit mais j’ai confiance en l’équipe. On va essayer de créer l’exploit à Arsenal.»
Son compère, Florian Sotoca préfère voir les deux prochaines échéances comme un bon moyen de se racheter. Le déplacement à Londres sera relativement délicat. Mais terminer à domicile, face à Séville, dernier du groupe, peut être le bon moyen de finir sur quelque chose d’intéressant. «On nous prédisait un groupe difficile. On a été à la hauteur lors de ces premiers matches. Dans l’ensemble, ce que l’on fait est très cohérent. Gardons cet état d’esprit car on n’a rien lâché jusqu’au bout et on sera récompensés. Il nous reste deux matches pour montrer notre vrai visage. Si cela doit se jouer sur un dernier match, on le prendra.»