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Salis Abdul Samed : «J’étais prêt pour ça dès le départ»

RC Lens.

Après une légère coupure qui était la bienvenue, Salis Abdul Samed et les autres sont revenus à la Gaillette avec les batteries pleines. Les Artésiens continuent de bichonner leur bonne série qui s’allonge désormais à 9 matches sans défaite. Le milieu de terrain ghanéen revient sur cette dernière ligne droite intense qui attend les Lensois […]

Salis Abdul Samed : «J’étais prêt pour ça dès le départ»

Après une légère coupure qui était la bienvenue, Salis Abdul Samed et les autres sont revenus à la Gaillette avec les batteries pleines. Les Artésiens continuent de bichonner leur bonne série qui s’allonge désormais à 9 matches sans défaite. Le milieu de terrain ghanéen revient sur cette dernière ligne droite intense qui attend les Lensois avant Noël.

Lensois.com : Salis, à quel point ce petit break vous a été bénéfique ?
Le coach a bien fait de nous donner les deux jours. Avant ça, on a joué quatre matches en 15 jours. Il fallait bien se reposer, c’est bon pour l’esprit. Tout le monde a bien coupé, on est prêt pour vendredi.

salis abdul samed Lens Nantes octobre 2023

Le calendrier est plus chargé que l’an passé, comme ça va physiquement ?
Moi, je dors beaucoup. J’étais prêt pour ça dès le départ même si c’est vrai que je n’ai pas beaucoup travaillé pendant les vacances d’été. Mais je suis prêt pour suivre ce rythme, je savais qu’il y aurait beaucoup de matches. Pour moi, calendrier chargé ou pas, même jouer un match tous les deux jours, si le coach le veut, moi je joue !

Et mentalement ?
Mentalement, ce rythme et la Ligue des Champions ça pompe beaucoup d’énergie. La Ligue des Champions, c’est une autre intensité, c’est différent de ce qu’on vit en Ligue 1. Mais moi, je ne suis pas trop fatigué. Mentalement ça va aussi.

Parlez nous aussi de cette concurrence au milieu. Avant, c’était vous et Seko Fofana. Cette saison, c’est un peu moins figé.
Je pense que le club a bien fait de recruter beaucoup dans ce secteur. On doit jouer beaucoup de matches. Et même s’il y a des blessés, le coach a le choix. Papy (Mendy), c’est le côté expérience. Il a joué en Angleterre, il sait ce que c’est de jouer tous les trois jours. Neil, c’est un petit jeune, il progresse, il montre qu’il veut être dans le 11. Et en fonction du coéquipier avec qui je suis, je m’adapte. Attaquer, ce n’est pas trop mon job. Et Papy est un peu comme moi, il préfère rester là. Alors quand je joue avec lui, j’essaye quand même d’avancer un peu.

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