Fin janvier, Franck Haise quittait son poste de manager général pour se recentrer sur sa fonction d’entraîneur. Un mois et demi plus tard, qu’en est-il ? Comment se sent le principal intéressé ?
« Je suis sûr que c’était une bonne chose de le faire », introduit Franck Haise avant de s’expliquer : « J’étais sûr avant de prendre la décision. Il faut que je me ménage pour donner une énergie positive autour de moi, éviter d’être un peu trop fatigué, trop irritable par séquence. » Une sensation partagée par son joueur Jonathan Gradit : « C’est un coach qui est très calme. Mais on le voyait pris par beaucoup de choses au sein du club, il était souvent en réunion aussi. Ça a dû l’alléger d’un poids de pouvoir retrouver ses fonctions d’entraîneurs, mais son fonctionnement n’a pas changé. »
Une fonction qui lui donne plus de pouvoirs aujourd’hui
Un peu moins de travail qui n’influe plus sur son humeur, mais une expérience qu’il ne regrette pas : « Je ne regrette pas d’avoir fait ce choix là, j’en suis très heureux ». Et cela lui permet d’avoir une autre vision aujourd’hui. « Mes fonctions restent plus élargies par rapport à avant ma nomination en tant que manager général. J’avais déjà mon mot à dire auparavant sur le recrutement au niveau sportif. Je reste au moins au même niveau mais j’ai un peu plus d’informations qu’avant. Je suis resté aussi dans le Codir ce qui n’était pas le cas avant de passer manager », explique l’entraîneur.
Et c’est Jonathan Gradit qui conclut : « En tant que joueur, on rêve tous d’avoir un entraîneur comme lui. Il est proche de ses joueurs, c’est un plaisir d’évoluer avec lui au quotidien. »