L’émotion est palpable ce vendredi matin à Courrières, au lendemain de ce drame. La foudre s’est abattue sur le terrain du stade Gabriel Péri peu avant 20h. Jordan, footballeur amateur âgé de 33 ans, est mort. La victime était aussi l’entraîneur des adolescents U13 de l’AS Courrières.
Un homme « apprécié de tout le monde »
Les réactions se multiplient suite à la disparition de Jordan. « C’était quelqu’un de très très gentil », se confie Geoffrey, son oncle. Il était « apprécié de tout le monde. C’était un passionné de sport, il vivait football, il dormait football, avec sa femme et son fils, c'est un très très grand choc pour nous. Jordan, c'est comme mon petit frère, c'était quelqu'un qui n’avait pas de problème, pas d’histoire. Un mec réservé, un bosseur quoi. On se dit que ça ne devait pas arriver à lui, il était trop jeune et il était trop apprécié de tout le monde. C'est vraiment une catastrophe pour notre famille, on l’aimait vraiment fort. »
« Je n’arrive pas à réaliser », se désole son petit frère
Lucas, petit frère de Jordan, « n’arrive pas à réaliser que » son « grand frère est parti. C’est un choc en fait. C’est un cauchemar, je vais me réveiller. Mon cerveau ne veut pas l'accepter en fait. Je n’arrive même pas à me dire qu’il est parti du jour au lendemain comme ça sur un terrain. Alors on peut se dire, oui, il est décédé en pratiquant sa passion, mais j'aurais préféré qu'il décède bien plus tard quoi. Il avait tout son temps devant lui. C’était un grand frère exemplaire, c’était un exemple à suivre, une personne sans problème, sans prise de tête. Toujours le cœur sur la main à aider tout le monde. »
« On va faire le maximum », insiste le maire
Christophe Pilch s’est aussi exprimé au lendemain du drame. « On n’aurait jamais pu s'imaginer que la soirée se serait terminée comme ça. C'est vraiment quelque chose de très dur à vivre quand on perd un être cher. Il encadrait une équipe de foot de jeunes, les gens qui étaient avec lui sur le terrain, le président du club, le staff qui encadre. Tous ces gens-là sont bouleversés aujourd'hui et je pense que ce matin la pression va redescendre et on va voir comment on peut rendre hommage à cette personne qui s'était vraiment impliquée dans son club. On va être à l'écoute et on va faire le maximum. »
Le RC Lens a aussi publié sur X un message de soutien au club de football de Courrières.
On joue pas quand il à de l'orage
c'est dramatique une horreur pour la famille, mais je suis obligée de dire que cela aurait pu être évité !!!!!!!! désolée mai Jouer au foot alors qu'il y a un orage !!!! vous deviez savoir que la plupart des chaussures de foot les crampons généralement en fer !!! ceci étant ce jeune homme ne méritait pas cela quel gâchis...... sincères condoléances et courage à tous il en faudra
Vos commentaires vous pouvez les garder pour vous, l’orage a été soudain. Même si ça tonnais, ça peut juste tonner sans avoir de foudre. Respectez la famille.
en réponse à Sandrine, il n'y a pas de manque de respect pour la famille, ce qui a été écrit c'est simplement un constat qui s'est déjà produit ailleurs, et vu ce terrible drame chacun s'exprime selon ses émotions sans pour autant manquer de respect je redis sincères condoléances à la famille et courage à tous
Sincères condoléances à à la famille.
Les donneurs de leçon comme Marie Paule et oceane taisez vous.
Merci.
Ne donnaient pas de leçon svp...l'orage a été soudain
avant tout je présente mes condoléances à la famille pour ce terrible drame, maintenant je ne comprends pas ici pourquoi il y a 3 commentaires qui n'accepte pas ceux de Marie et Océane ce ne sont pas des donneuses de leçons, ces 2 personnes comme beaucoup d'autres sont en colère que ce jeune homme soit parti si "jeune" et dans des conditions horribles, et dans ces conditions la colère prend le dessus elles sont aussi tristes que vous, j'ai 72 ans alors s'il vous plait nous vivons déjà dans un monde difficile soyez indulgents, le sujet c'est bien la disparition de cet homme et la douleur de la famille et pour finir chacun exprime bien ou mal ses émotions sans pour autant ne pas en souffrir