Le RC Lens va entamer sa saison ce dimanche à Angers dans le cadre de la première journée de Ligue 1 (17h, à suivre en direct sur Lensois.com et diffusé en intégralité sur DAZN). L’occasion pour Will Still d’évoquer son état d’esprit et ses intentions au moment d’aborder un nouveau challenge avec les Sang et Or.
Lensois.com : Will Still, quel est votre état d’esprit avant le coup d’envoi de la saison ?
J’ai surtout hâte que tout commence, que la compétition reprenne, que la Ligue 1 recommence. Il y a pas mal d’excitation, d’attente, et l’envie de bien faire, de gagner des matches, de partager des moments d’émotion avec les supporters, les joueurs et le staff.
Quelles sont vos ambitions ? Décrocher l’Europe ?
C’est en tout cas de jouer les 7 ou 8 premières places pour pouvoir se qualifier en Europe. C’est surtout pour l’instant trouver des repères, être compétitif dès le début en se donnant les moyens de l’être. Il y a l’Europe qui arrive, on veut être complet sur tous les tableaux. On veut montrer la meilleure image du RC Lens. C’est un peu tôt pour parler d’ambition à long terme, on se concentre sur les premiers matches, mais on veut jouer l’Europe à fond et être le plus ambitieux possible en Ligue 1.
« Les 2 premiers matches à Bollaert, c’était quelque chose ! »
Qu’aspirez-vous à proposer sur le terrain avec votre équipe ?
Une équipe hyper intense qui essaye de jouer le plus haut et le plus rapidement possible. On veut mettre un impact et une intensité élevée quand on n’a pas le ballon. Et quand on l’a, c’est d’être courageux, d’avoir une personnalité au ballon, de jouer vers l’avant. On l’a vu sur les matches de préparation, j’espère que pas mal de buts seront marqués et qu’il y aura du spectacle. J’aime les équipes entreprenantes, qui sont proactives. Je pense qu’on aura une version de Lens proactive et intense.
Qu’est-ce qui vous a marqué depuis votre arrivée ? Ressentez-vous une pression ?
J’adore Bollaert, les deux premiers matches, c’était quelque chose. Tout le monde a été tellement accueillant, bienveillant à mon égard ainsi qu’envers mes frères, qu’on a l’impression d’être ici depuis des années. Mais du coup, tu as aussi envie de rendre quelque chose. La pression ? C’est pour ça qu’on fait ce métier, sinon on ne le ferait pas. Il faut être un peu fou pour ça, mais ça fait partie du foot !
