Le gardien du Racing Club de Lens, Nicolas Douchez, sort de son silence dans un entretien accordé à L'Equipe. Il revient sur son interpellation, à Paris, le 26 octobre dernier. Poursuivi pour « violences volontaires en état d’ivresse n’ayant pas entraîné d’interruption de temps de travail, » il explique regretter ce qui s’est passé. Il veut également rétablir la vérité et déclare : « Je n’ai frappé personne. » La femme qui l’accompagnait lors de cette soirée n’a pas porté plainte et n’a pas voulu se faire examiner.
« Le fait d’être sorti, d’avoir bu, de m’être emporté et d’avoir cassé des meubles, j’en endosserai pleinement les conséquences, » ajoute le gardien. Entendu par la direction du club jeudi, il saura ce samedi s’il pourra rejouer ou si une nouvelle sanction sera prise. Il sera jugé le 2 février en correctionnelle.
